Semaine Critique:

Semaine Critique   seconde édition:

 ( je me prend pour Bedos, mais c est dimanche, c ‘est bon ?!)

 


 

Lundi : C’est toujours une joie de participer à un évènement organisé par Orange Busness Services. On n’aime pas, on adule ses moments là. Une Salle remplie de nourriture diverse et dense à dévorer sur place sous les yeux éffarés des Community Managers. Cherchez pas, j’aime ça.

 

 

 

  Mardi: Femme On MAC OS Conférence de presse pour les prix qui ne seront plus remis à Paris mais à Lyon. Avec des projets. Tellement ‘Apple-hisé’ que son banquier doit être en or. Et puis, à coté de moi, une jeune femme, les ongles rongés. Cela m’a fait de la peine pour elle. Toutes ses contradictions à gérer. Et en plus elle tweet.

 

 

 

Mercredi : Déjeuner avec un Vantard engagé. C’est toujours amusant de voir la fragilité d’un personnage public. Je ne suis pas empathique. Je constate. Il ne m’intéresse pas autant que cela, je reste froid. Mais sa problématique est intéressante. Je vais revenir vers lui avec une solution.

 

Jeudi : Pour ce seul soir, il y avait 3 soirées. Compliqué de faire un choix. Diner de Renaissance Numérique. J’aime beaucoup cette association qui lutte pour défendre le net et surtout pousser nos gouvernants à faire en sorte qu’il n’y ait plus de fracture numérique. Donc pas de Soirée Pétanque avec Orange.

 

Vendredi : Vernissage d’un inconnu. J’ai juste servi de cavalier. Des photos. Une ambiance de jazz manouche. J’adore l’ambiance qui se dégage de ce genre de moment. 60% de femmes.

 

Samedi : Permanence Professionnel…sous trop de soleil.

 

Dimanche : J’hésite à lâcher mon Ipad et à sortir de mon hamac, pour lire le SmS qui a fait vociférer mon ‘No-iPhone’, il y a déjà 20 minutes… c’était Danifilt

 

Le plaisir ??go??ste.

Avoir sa dose !

Dans une position ….empreinte de fatigue et de légère ivresse, je fini mon café digestif….le café….

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Je désire évoquer un plaisir personnel, matinal, et régulier, ce moment qu’on attend depuis que nos yeux se sont ouverts au reveil. Même si le geste préparatif est identique à chaque fois, il n’est pas rédhibitoire (oui, il y a bien un ‘h’), il nous procure une satisfaction sans difficulté. Ce café religieusement savouré de sa petite mousse flottante, jusqu’au fond de la tasse ou repose le sucre généreusement dosé.

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Ce produit est le pétrole de notre esprit, il nous offre notre premier sourire à la première gorgée. Le plaisir éprouvé est encore plus grand quand l’odeur envahie la cuisine, et que les croissants sont bien Cocholatés =]

Lorsque que les conditions météorologiques le permettent, ce liquide opaque se savoure au balcon, ou la douce brise matinale et les premiers rayons de soleil frappent notre visage, les yeux fermés, le voyage peux commencer….euh la c’est privé xD …. Lors de l atterrissage, on se rend compte que le temps nous manque, on sacrifie donc la fin du café en une ultime gorgée, qui évidemment est bien trop chaude, et l oesophage nous brule tel une punition. Mais la encore ça valais le coup !

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Le café serre, court, sucré ou non, du Pérou ou d’Italie, seul ou accompagné, est une étincelle matinal nécessaire pour lance le moteur de la routine quotidienne, et de la bonne humeur ! Si si tester ! Osez ne pas prendre votre dose, regardez vous de 8hoo à 10hoo vous serez MOU comme un politique de gauche ou Haineux comme un politique de droite. (Moi, apolitique, oui oui !).

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Bon, un café?

 

Le Morvan

La nocturne du Morvan.

Un matin, confortablement enseveli dans mon duvet, une symphonie de gazouillement d’oiseau ose interrompre ma balade dans un ciel à la Tim Burton…

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La bouche assèché tel un désert d’Afrique me fait sortir nu de mon duvet.  Symptôme d’un léger abus d’alcool…  Enfin bref, le 5 juin à 5hoo dans le Morvan, la brume blanchâtre et cotonneuse rempli la vallée, au loin les pâturages vert (jaunie par le généreux soleil). Le ciel bleu….nan turquoise ! surplombait ce merveilleux premier plan, et ce vieux et unique lampadaire, tout bancal, rajoute l’étincelle jaune venant d’une autre époque. Ce mélange de couleurs si inattendu et surtout si loin des immeubles, des camions de poubelle, et de mon crétin de voisin, me ravis, je vide un fond de bouteille d’eau, et cela me rappel aussitôt que j’ai fait la même chose avec un vieux whisky la veille, sur cette image d’alcoolique amateur, je tente de retrouver mon duvet, sans réussite, puisque une RedHead avais ça tête poser sur le même oreiller que moi lors de mon réveil…

Vive le Morvan !
Pour infos:

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et aussi  un peu, Juste un peu de …

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iPad – FeedBack

« Tu te sers toujours de ton iPad », he say

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Difficile confession, mais il a raison mon réfugié sans papier: je me sers beaucoup de mon iPad. J’avais dit que je lui prêterai…, et bien j’avais tord, il es donc sur mon MacBook dans le salon.

Douloureux exercice que de dire du mal de cet objet incroyable mais je ne me soustrairai pas au devoir de l’honnête homme, et puis c’est l’occasion de faire plaisir à mes iTrolls.

Ne te réjouis pas trop vite tout de même, on va grandement nuancer tout cela.

En gros le constat que je vais développer: adapté à mon utilisation. J’ai des potes qui se régalent de son utilisation lové dans le canapé (like me), j’ai plus un profil de lecteur de contenu, et même quand je lis, je suis du genre à commenter, à interagir, le mec relou quoi. Et là c’est un peu galère.

Essayons de passer en revue quelques reproches récurrents dans la trollosphère:

absence de Flash: LE manque n°1 pour moi. Je ne pensais pas que cela me manquerait autant. Mais sur iPad c’est différent, on est bien installé, on est sensé avoir un vrai lecteur dans les mains, et trop souvent je dois me lever pour aller voir des choses sur un “vrai” ordinateur, comme par exemple pour suivre et participer à un programme en streaming. Je voulais rester dans le beau fauteuil en cuir, Steve!

iBooks: chacun sa relation au papier, au livre, moi lire sur iPad j’adore. C’est sublime. Mais la déception vient du catalogue. 9 recherches sur 10 vont dans le mur. Je ne trouve presque rien de ce que je cherche, très grosse déception, je ne connais rien aux réseaux d’édition/distribution de la littérature, mais manifestement ça boude la tablette.

interfaces: pas un soucis pour moi. Je n’ai pas de machin à brancher dessus.

– Prix: on m’as des dons, sinon vous imaginez bien que je serai toujours sous Pentium 4 de 2004 !

Bon tout ça c’est pour être franc avec toi mon zami, reste que plein de choses sont formidables sur ce merveilleux iBidule, lire ses mails, tweeter au pieu, jeux, vidéos, applis à la Pulse ou FlipBoard, tout ça c’est beau, c’est impressionnant, et en gros, ça ne correspond simplement à mon utilisation globale d’Internet.

Beaucoup des problèmes viennent aussi de l’aspect pionnier de la bébête, on sent bien qu’on est dans le béta (enfin depuis deux ans, les concurents sérieux sont loins) et qu’en murissant, tant sur la disponibilité des contenus que sur les fonctionnalités du device, l’iPad de demain reste plein de promesses.

Je répète qu’il s’agit aussi beaucoup d’une question de profil utilisateur, je connais des iPad qui restent longtemps sur les étagères….

Au stade ou j’en suis de ma réflexion, je me demande même si je serais un iPadeur si demain tous les manques étaient comblés, mais un autre point qui m’intéressait était de savoir si c’était la solution pour les non geeks. Je pense que je le conseillerai à ma mère, mais pour l’instant, je suis finalement plutôt dubitatif. Faudrait qu’on essaye maman !

Voilà, désolé Steve, mais contre toute attente, je me sens finalement aujourd’hui aussi bien sous le MacBook (rename en MacZouille).